Nom : KiljOy Dil’Erâh
Age : 195 ans (âge humain : 19 ans )
Race : elfe
Classe : magicienne ( Eau / Glace )
Description physique : long et fins cheveux rouges pourpres, yeux violets-bleus souvent cachés par de longues mèches de cheveux lui retombant sur le visage, 1,69m et 47 kilos, apparence plutôt fine et discrète .
Background : Descendante d’une famille au sang mêlé, mes aïeux furent mariés avec des humains pour sceller la paix entre les 3 races, puis plus tard, ma grand mère se lia avec un homme de la ville aux cheveux rouges qui me ressemblait énormément d’après ce que l’on ma conté, je me distingue depuis toujours des autres elfes par mon physique, plus qu’interrogateur vu ma race.
Ma famille était plutôt singulière. Comme nous étions de grands guerriers, beaucoup furent tués lors de la tentative de destruction des forces du Mal, serviteurs de la traîtresse Lune.
Ma mère m’a quittée à ma naissance car l’accouchement lui fut mortel. Comme on me prit inconsciemment pour responsable, cela ne m’aida pas à m’intégrer.
Mon père travaillait auprès de l’Eau en tant qu’océanographe, le seul pour plusieurs clans.
Les clans des elfes du Sud sont reconnaissable par le placement d’une syllabe avant le nom ; cela indique aussi un niveau social élevé, une marque de noblesse que l’on a attribué aux descendants des elfes-guerriers qui avaient œuvré pour la paix lors de la 1ère et 2nde ères.
Le nom de mon clan est Dil, venant d’un ancien fleuve passant par une contrée ennemie, et qui fut d’une aide précieuse à nos aïeux. J’habitais il y a de sa longtemps avec mon village sur un littoral en bord de mer, bordée de prairies rivalisant de beauté, fleurs aux si subtils parfums que je me lassait point de m’allonger dans ces prés pour m’enivrer de toutes ces odeurs merveilleuses, contemplant le soleil et sa création sublime, profitant de chaque instant contrairement au personne de mon âge.
Car je sentais venir un danger, je me réveillais parfois la nuit, ruisselante et horrifiée, ayant des phrases incompréhensibles dans la tête…
Je fis part de ses impressions a notre sage, et elle se contenta de me rassurer, ne voyant pas que cela me tenait a cœur.
Ma nature déjà solitaire s’accru, et me fit passer plusieurs cycles près de l’Eau, j'avais trouvé un accès a l'Eau, non loin de mon village,a 500métres environ, et je l'emprunté pourme reposer sur une digue, où je rencontrais un Ermite avec qui je sympathisais et je tentais temps bien que mal d’apprendre les secrets de l’Eau et Glace, qu’il me dictai et narrait chaque jour, afin de pouvoirs protéger ma famille avec cette magie.
J’appris aussi toute seule a manier l’épée, se qui me distingua encore une fois des autres elfes qui ne chercher pas le combat, et j’avais déjà des dispositions naturelles d’archère mais que je négligeais pour les lames fines.
Mais hélas, un jour de tempête grondante, je me décidai a regret de rentrer dans ma demeure, et qu’elle fut ma surprise en constatant l’horreur : mon village avait été attaqué pendant mon apprentissage. Je courais dans tout les sens, cherchant dans les amas des survivants de la famille Dil, et alors que mon désespoir s’accroissait, j’entendis a se moment, un râle d’agonie, semblant venir du fond d’une âmes elfe, et je me repérais avec ce signal pour retrouver le mourrant.
Le son était de plus en plus proche, mes pas toujours non mesurés, enfantins et apeurés, et je me trouvais devant mon père, sa vue me fit l’effet d’un poignard dans le cœur je tombais a genoux à ses pieds et essayait du mieux que je pouvais d’arrêter l’hémorragie qui l’atteignait. Dans son dernier souffle, il me fit part du secret de notre famille, que maintenant je dois porter et transmettre à mon tour quand je serais au seuil de la mort.
Dans une rage soudaine, je tentais de lui arracher qui nous avait attaqué, et dans un râle presque inaudible me fis comprendre que c’était des orcs. Ils avaient été prévenus de notre existence pacifique par une troupe humaine, qui avaient dû être facilement corrompus par un sortilège ou plus simplement par quelques pièces d’or qui avaient éveillés leurs indéniable cupidité.
J’étais trahie ; la maigre confiance que j’avais placée en eux se transforma, avec ma prise de conscience de tout ces événements, en une haine incontrôlable.
D’un pas aussi léger que vif, je me rendais au campement humains. Arrivée là-bas, je regardai avec dégoût les visages humains déconcertés par ma présence.
L’un d’eux engagea une discussion : « Gente dame, vous ne devriez..»
Des mots, juste des mots…
Je tirais mon épée, et dans un état second, lui tranchait la tête. Je ressentais un besoin intense de les voir mourir, qu’ils payent.
Je les tuai tous un à un, mais une aide inconnu me fut apporté, puisque un homme, qui avait tenté de me tuer par derrière lors d’une de mes inattentions, s ‘effondra à mes pieds avec une petite dague ornée d’étranges gravures a la main.
Après cette épisode, décomposée par la perte de mon clan, je vécu plusieurs années d’errances et de vagabondages, mais, finalement, je retrouvais en moi la rage de combattre pour mes frères et sœurs morts ce jour néfaste et décidai de réduire a néant la race des orcs tant que la vie que l’on m’a insufflée se sentirait encore à travers les battements de mon cœur.
Et c’est, seule, à la recherche de compagnons dignes de ma confiance, que je me retrouvais devant les portes de la cité de Turbino.
ps : désolé, je ne sais pas si les âges elfes / humains correspondent .. Si non, j'attends une correction, merci 
Mer 29 Nov - 22:19
